Fédération CGT des Cheminots


UNE GRILLE UNIQUE DES SALAIRES POUR TOUS LES CHEMINOTS !

Salaires

Édito

Les inégalités salariales entre cheminot·es se creusent.
Ça suffit !
Gagnons de nouveaux droits collectifs et une grille salariale commune à toutes et à tous !

Les progressions salariales et les déroulements de carrière des cheminots au statut et contractuels ne sont plus garantis. Le système de rémunération imposé aux cheminots contractuels est injuste, opaque et dévalorisant.

La fin du recrutement au statut, l’accord rémunérations de la CCN (Convention Collective Nationale), l’explosion des éléments variables de rémunération (primes etc) au détriment des salaires, sont des leviers utilisés par la direction pour inscrire l’austérité salariale dans la durée.

LA JUNGLE « SOCIALE ET SALARIALE » POUR LES CHEMINOTS CONTRATUELS !

Il n’y a pas de grille salariale pour les cheminots contractuels. Les garanties existantes en matière de salaires ont été balayées par l’accord rémunérations.
Cet accord rejette toutes formes de grille de salaire mensuel et de 13ème mois pour tous, puisqu’il ne dispose que de seuils minimaux de rémunération annuelle.
Quant à la progression salariale, les cheminots contractuels n’ont aucune garantie. Ils subissent l’arbitraire patronal avec toutes les formes de discriminations et d’injustices que l’on constate au recrutement et en cours de carrière.
Ainsi, c’est la négociation de gré à gré et la stratégie des augmentations individuelles qui prévalent ! Par ailleurs, les écarts salariaux entre cheminots contractuels mais aussi entre cheminots contractuels et cheminots au statut sont abyssaux.

UNE GRILLE STATUTAIRE EXSANGUE

Si les cheminots statutaires disposent d’une grille salariale, la fin du recrutement au statut a conduit à rendre inopérants ses mécanismes de progression salariale.

Lors des exercices annuels de notations, les cheminots voient leur progression ralentir.

La CGT revendique une nouvelle grille unique des salaires pour tous les cheminots garantissant :

  • La reconnaissance des diplômes, des formations, des savoirs et savoir – faire ;
  • Un déroulement de carrière et une progression salariale automatique ;
  • L’égalité entre les cheminots hors statut et statutaires ;
  • L’égalité entre les femmes et les hommes ;
  • Un 13ème mois pour tous ;
  • Un salaire mensuel de début, sans diplôme et sans expérience, de 2 000 euros brut.

Certaines organisations syndicales ont validé l’accord rémunérations qui s’oppose précisément à une grille unique, à un 13ème mois…
La Fédération CGT des Cheminots observe toutefois que certaines organisations syndicales se rallient timidement et progressivement à cette revendication créée et portée par la CGT, comme ce fut le cas pour l’accord CPA/CAA.
Il n’est donc pas trop tard pour rejeter l’accord classifications /rémunérations et exiger une grille unique des salaires pour tous !

ENSEMBLE,
DANS LES SYNDICATS CGT DE PROXIMITÉ,
CONSTRUISONS LA RIPOSTE SALARIALE !

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ON PASSE À L’ACTE 2 !

Appel unitaire

| Action à partir du 12 décembre 2024

Le 21 novembre, les cheminots ont adressé un ultimatum au gouvernement et à la direction SNCF.

Les organisations syndicales, unies et déterminées, appellent les cheminots à se mettre massivement en grève à compter du 11 décembre à 19h00.

Elles appellent le gouvernement à convoquer sans tarder une réunion tripartite de négociation s’il veut éviter la grève.

Les cheminots ont affiché, par leur participation à la grève, leur détermination à gagner sur les revendications exprimées par l’intersyndicale, leur attachement au service public, à l’unité sociale, et plus largement à l’intérêt général.

FRET SNCF NE DOIT PAS DISPARAÎTRE

L’exigence d’un moratoire sur le processus de discontinuité est plus que jamais d’actualité. Alors que les catastrophes climatiques se multiplient et s’intensifient, il est impensable et irresponsable de liquider un acteur public majeur et indispensable à la décarbonation des transports. Ce coup d’arrêt doit permettre de remettre tous les acteurs autour de la table, y compris la Commission européenne.

STOP AU DUMPING SOCIAL ET À LA PRIVATISATION DU RAIL !

Lors du prochain changement de service, près de 1 200 cheminots sont amenés à être transférés dans des filiales. C’est un choix dogmatique assumé par le président Farandou visant à préserver les marges de la SNCF au détriment des acquis sociaux des cheminots. La Grande-Bretagne vient de recevoir le feu vert de la chambre des Lords pour faire revenir les opérateurs privés dans le giron public, avec le soutien des deux tiers des Britanniques. Il est donc possible de faire d’autres choix en France ! Le dumping social et la liquidation des droits des cheminots qui en découlent sont purement inacceptables. C’est d’ailleurs la seule et unique raison d’être de ces filiales.

UN RÉSEAU BALKANISÉ FAUTE DE FINANCEMENTS ?

Les débats budgétaires laissent augurer une cure d’austérité dans tous les domaines, et particulièrement pour le ferroviaire. Faute de financement, ce sont des milliers de kilomètres de lignes qui pourraient sortir du réseau national et être cédés aux régions qui, par voie d’appel d’offres, en confieraient l’entretien et l’exploitation à des acteurs du BTP. Une loi de programmation pluriannuelle est donc un préalable pour préserver l’unicité du réseau et permettre de développer le transport de marchandises et de voyageurs.

En l’absence de réponse aux revendications, tant par le gouvernement que par la direction SNCF, s’imposera une nouvelle étape de mobilisation à compter du 11 décembre 19h00.

NOS REVENDICATIONS SONT TOUJOURS LÀ !

  • Arrêt et moratoire sur le processus de discontinuité de Fret SNCF,
  • Arrêt du processus de filialisation TER, Transilien et Intercités et maintien de l’ensemble des droits des cheminots,
  • Loi de programmation pluriannuelle pour la modernisation du système ferroviaire.

À PARTIR D’AUJOURD’HUI, CONSTRUISONS L’ACTE 2 !

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Cédric ROBERT
Tél : 01 55 82 84 32
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ÉLU·ES DU PERSONNEL, PAS CRIMINEL·LES !

Repression syndicale

| Actions

Les procédures disciplinaires se multiplient à l’encontre des élu·es et mandaté·es. Ainsi, la direction a tout récemment infligé des sanctions lourdes à l’encontre de représentant·es du personnel de nos deux Fédérations. C’est inadmissible  ! Ne laissons pas faire  ! Le 07 octobre à 13h00, soyons massivement sous les fenêtres de la direction SNCF pour dire STOP !

Les Fédérations syndicales CGT et SUD-Rail n’accepteront jamais que le management par la terreur devienne la pierre angulaire du dialogue social.

Ainsi, les procédures disciplinaires expéditives et ciblées, diligentées par la direction de l’éthique et sous couvert de cabinets privés, sont inacceptables.

Ces cheminotes et cheminots qui font le choix courageux de se présenter aux suffrages de leurs collègues pour les défendre, se voient donc aujourd’hui exposé·es aux représailles de la direction, parce qu’ils combattent des choix et des orientations contraires à l’intérêt des salarié·es.

Par une stratégie d’intimidation, la direction entend donc faire tomber le bouclier que constitue chaque élu·e et mandaté·e, entre la direction et les cheminots. Car au-delà de l’acharnement des directions contre les militant·es syndicaux·ales, ce sont en réalité les volontés de résistance du corps social cheminot qui sont visées !

Pour arriver à ses fins, elle s’attaque également à nos camarades investis des premières responsabilités dans les CSE  ! Les dossiers disciplinaires sont vides et les pseudo-éléments qui seraient constitutifs d’une éventuelle sanction ne sont pas portés à la connaissance des Fédérations syndicales et de nos camarades mandatés.

Voilà où nous en sommes  ! Nos fédérations exigent l’arrêt de toutes les sanctions.

Les voyous, ce ne sont pas nous  !

Les cheminotes et les cheminots ainsi que leurs élu·es doivent mettre un coup d’arrêt à ces méthodes détestables  !

Ainsi, la CGT des cheminots et SUD-Rail appellent l’ensemble des élu·es et mandaté·es, accompagné·es des cheminots, à se rassembler massivement devant le siège de la SNCF à St-Denis le  :

Lundi 07 octobre 2024
À 13h00

MILITER N’EST PAS UN CRIME  !
Face à l’arbitraire, ne cédons jamais à l’intimidation.

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1er OCTOBRE : ENCLENCHONS LA RIPOSTE DANS LE FERROVIAIRE !

| Actions

La nomination récente d’un gouvernement de droite, avec l’aval du Rassemblement national, l’annonce future d’un budget austéritaire, la liquidation de FRET SNCF, la création de filiales TER, le gel des embauches, la répression syndicale et les annonces d’austérité salariale nécessitent une réponse immédiate !

La direction SNCF confirme la stratégie de démantèlement du Groupe par les filialisations envisagées tant pour Fret SNCF que pour Voyageurs.

La question salariale est renvoyée aux NAO de fin d’année, alors que le contentieux accumulé depuis de nombreuses années est bel et bien là. Concernant l’emploi, nous pourrions assister à un probable accostage à fin 2024, en-deçà des engagements pris. C’est particulièrement le cas dans certaines SA et activités.

Par ailleurs, le plan d’économies annoncé dans le GPU SNCF, de l’ordre de 300 millions d’euros, nous promet de nouvelles dégradations des conditions de travail et de la sécurité.

Le plan de liquidation de FRET SNCF se poursuit sans tenir compte des préconisations de la commission d’enquête parlementaire et des revendications des organisations syndicales. C’est également le cas concernant la création de filiales TER que nos fédérations dénoncent puisque rien n’oblige la direction à faire ce choix sinon celui de casser les droits sociaux des cheminots.

C’est dans ce contexte politique, dans et en dehors de l’entreprise, que la direction s’attaque aux élu·es du personnel en leur infligeant des sanctions arbitraires sous couvert d’enquêtes occultes effectuées par des cabinets privés qui n’ont rien d’éthique.

C’est pourquoi les Fédérations syndicales CGT et SUD-Rail appellent les Cheminotes et Cheminots à s’inscrire massivement dans la journée interprofessionnelle de grève et de manifestations unitaire du 1er octobre 2024.

Exigeons ensemble :

  • L’arrêt de la casse du contrat social et du processus de filialisation des cheminot·e·s de FRET et des transports conventionnés (TER, Transilien et Intercités) soumis à l’ouverture à la concurrence.
  • Une augmentation générale des salaires, l’octroi d’un véritable 13ème mois pour tous, la revalorisation/refonte des primes de travail et la reconnaissance des qualifications pour TOUS les cheminots.
  • Le respect des engagement pris en matière d’emploi pour 2024, afin d’améliorer la production, répondre aux besoins du service public, améliorer les conditions de travail et le quotidien des cheminots.
  • L’arrêt des plans d’économies et de la politique austéritaire.
  • L’abrogation de la réforme des retraites dite « Macron ».
  • Le retrait immédiat des sanctions infligées aux représentants du personnel.

La construction d’un mouvement social constitue un élément fondamental pour faire basculer vers d’autres politiques  ! Mobilisons-nous dès le 1er octobre pour nos retraites, nos salaires et les services publics  !

Toutes et tous en grève et dans la rue le 1er octobre  !
Préavis national tous services du 30 septembre 19h00 au 2 octobre 8h00.

Pensez à poser vos DII 48h00 avant le début de votre prise de service.

 

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26 SEPTEMBRE 2024 : LIQUIDONS LA PRIVATISATION !

Service Public SNCF

Édito

Le 26 septembre, devant le ministère des Transports et quel que soit le gouvernement, allons exiger l’arrêt de la casse de la SNCF !
Rien ne doit nous écarter de notre volonté de faire de la SNCF une grande entreprise publique au service des populations.

Le service public SNCF doit être, plus que jamais, un outil de cohésion au service de la Nation. Ainsi, les cheminot·e·s doivent avoir les moyens d’exercer leurs métiers dans de bonnes conditions et la SNCF doit jouer son rôle stratégique d’entreprise publique de transports de voyageurs et de marchandises, et ce en dehors des règles ultralibérales en vigueur.

Rien ne doit nous contraindre à subir le pire, quand nous sommes capables, ensemble, d’obtenir le meilleur.

LE 26 SEPTEMBRE, ALLONS CHERCHER :

  • L’arrêt immédiat du processus de discontinuité et de liquidation de Fret SNCF ;
  • L’arrêt du processus de privatisation par la mise en concurrence, la création de filiales dédiées et l’abaissement des droits des cheminots qui en découle ;
  • Le retour à une entreprise unique, publique et intégrée pour répondre aux enjeux du service public de marchandises et de voyageurs.

Face à un gouvernement et une direction SNCF qui s’entêtent, la mobilisation est primordiale.

Tous rassemblés et tous mobilisés, il faut montrer notre détermination à les faire reculer.

Liquidons la privatisation & solidifions la SNCF,
entreprise publique de service public !

Rassemblement 26 septembre, à partir de 12 h devant le ministère des Transports

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ÊTRE À LA HAUTEUR DU MOMENT

Édito

Le 7 juillet dernier, les forces de gauche ont été placées en tête du second tour des législatives. L’attente légitime vis-à-vis des élus du NFP est immense. Celui-ci doit maintenant faire preuve d’une responsabilité au moins équivalente à celle de ses électrices et électeurs.

La stratégie de dissolution de Macron favorisant la prise du pouvoir par l’extrême droite et ses alliés a été mise en échec. Le plus grave a été évité, pour l’heure. Cependant, des incertitudes demeurent quant à la constitution d’un gouvernement résolument tourné vers le progrès social.

En tant qu’organisation syndicale, nos exigences sociales restent les mêmes qu’avant ces élections.

En cela, nous exigeons :

  • L’abrogation de la réforme des retraites ;
  • L’augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux ;
  • L’égalité professionnelle femmes-hommes ;
  • Des moyens pour nos services publics et arrêter le processus de privatisation de Fret SNCF et du transport ferré de voyageurs ;
  • Le retour à l’unicité de l’entreprise SNCF ;
  • Des conditions sociales de haut niveau pour l’ensemble des cheminots du secteur ferroviaire ;
  • Une vraie politique de réindustrialisation du pays ;
  • La garantie des libertés, en commençant par voter une amnistie des militants syndicaux condamnés lors d’actions revendicatives.

En ce sens, la responsabilité des 4 principales forces constituant le NFP est sans précédent. 10 jours après le second tour, il convient donc d’être à la hauteur des espoirs formulés par le vote du peuple de gauche qui a fait un choix clair quant à l’avenir social et sociétal de notre pays.

Les cheminotes et les cheminots qui, comme bon nombre de citoyens, se sont engagés dans la dernière période, ont également affirmé qu’ils ne seraient ni amnésiques, ni naïfs. Sans plus attendre, un signal fort doit être envoyé quant à la constitution d’un gouvernement en capacité de se mettre au travail immédiatement afin de répondre aux attentes sociales.

Quoiqu’il en soit, la Fédération CGT des cheminots réaffirme que jamais les cheminots ne baisseront ni la garde, ni la tête, ni les yeux. Si la période que nous traversons est difficile à bien des égards pour les cheminots, les syndiqués et militants que nous sommes, elle est aussi de ces périodes qui permettront de démontrer que nous sommes déterminés, fiers et forts !

QUELLE QUE SOIT LA SITUATION DANS LES JOURS ET SEMAINES À VENIR, NOUS CONTINUERONS, DANS L’UNITÉ SYNDICALE LE PLUS LARGE POSSIBLE, À IMPOSER NOS REVENDICATIONS PAR LA LUTTE, AVEC CONSTANCE ET RESPONSABILITÉ !

 

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FACE À LA MENACE NOTRE UNITÉ !

Communiqué aux Cheminot·es

Édito

L’heure est très grave ! Les scores de l’extrême droite à l’issue des élections européennes n’ont jamais été aussi haut. La réponse du Président de la République, qui a largement contribué à amener l’extrême droite à ses scores par des réformes de régression sociale et par le mépris permanent de ses concitoyens, consiste à dissoudre l’Assemblée nationale.

L’ennemi du monde du travail est aux portes du pouvoir. Nous l’avons vu à l’oeuvre dans l’histoire et aujourd’hui en Italie ou en Argentine par exemple, en imposant l’austérité sur les salaires et les services publics.
La politique de l’extrême droite est basée sur le racisme, qui met en opposition les travailleuses et travailleurs en fonction de leur nationalité, de leur couleur de peau, leur religion, ou encore leur orientation sexuelle.

Emmanuel Macron est le premier responsable de la progression du Rassemblement National. En effets, les offensives libérales et autoritaires des gouvernements de ces dernières années, le mépris de tous les corps intermédiaires, la surdité aux attentes du peuple, avec l’utilisation abusive du 49.3, notamment lors de la réforme des retraites, ont favorisé l’explosion de l’extrême droite. Avec son
coup de poker, le Président de la République risque d’entraîner tout le monde vers l’abîme. En décidant d’organiser des élections législatives en trois semaines, il continue son instrumentalisation très dangereuse de la vie politique et démocratique. L’extrême droite est un danger pour les cheminotes et cheminots. Elle est contre le progrès social, contre la diversité, contre l’égalité.

Dans l’unité syndicale, les fédérations CGT – SUD-Rail – CFDT décident d’agir fortement dans l’intérêt de notre camp social !

Nous ne laisserons pas faire. Ni recul social, ni banalisation du racisme, de la xénophobie, de la stigmatisation. Celles et ceux que l’extrême droite prétend défendre aujourd’hui sont celles et ceux que l’extrême droite abandonnera dès qu’elle sera au pouvoir. Le programme et la nature du RN c’est la restriction des droits des salarié·es.

Nous affirmons qu’en tant qu’organisations syndicales, réunissant des milliers de cheminotes et cheminots, nous sommes des acteurs déterminants du progrès social. Pour battre l’extrême droite, le monde du travail a besoin d’espoir et de perspectives sociales reprenant nos dernières luttes interprofessionnelles et, dans le ferroviaire :

  • L’annulation de la réforme sur la retraite
  • La fin de la concurrence et le retour à un service public ferroviaire pour toutes et pour tous, partout sur le territoire
  • L’arrêt du processus de la liquidation de Fret SNCF
  • L’engagement d’un statut social de haut niveau commun à l’ensemble des salarié·es dans le secteur ferroviaire

Comme l’intersyndicale interprofessionnelle l’a décidé, nos fédérations cheminotes appellent à manifester le plus largement possible ce week-end pour porter la nécessité d’alternatives de progrès pour le monde du travail.

Conscientes de notre place dans la vie citoyenne, elles appellent l’ensemble des cheminotes et cheminots à agir les 30 juin et 07 juillet prochain, mais aussi après pour que nos revendications deviennent réalité.

On n’essaie pas l’extrême droite !
Le mouvement social doit prendre son destin en main ; nous allons y contribuer

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ENSEMBLE, EXIGEONS LA REVALORISATION DE LA PRIME DE TRACTION DE TOUS LES CONDUCTEURS !

Édito

Depuis de nombreuses années, la rémunération des conducteurs (CRML, CRTT, CRL), comme celle de l’ensemble des cheminots, est gelée. A cela s’ajoute la stagnation ou la baisse de leur prime de travail liée aux fluctuations de la charge de travail.
Le système de calcul est très opaque et permet à la direction de s’en servir comme outil managérial pour favoriser ou pénaliser nos roulements.
Ce système étant à l’agonie malgré les artifices que veut mettre en place la direction, la Fédération CGT des cheminots revendique la mise en place d’un nouveau mode de calcul.

Affiche de la pétition pour la revalorisation de la prime tractionAvec la CGT, je signe et je réclame :
▪ Une revalorisation de la prime de traction pour l’ensemble des conducteurs ;
▪ Une simplification du système permettant à chaque ADC de contrôler sa prime ;
▪ L’instauration d’une prime de base garantie versée pour chaque journée ;
▪ La prise en compte de la durée des amplitudes, du temps en tête des trains et du travail de nuit pour le calcul de la prime ;
▪ Réduire les écarts entre la plus basse et la plus haute prime de traction ;
▪ Une meilleure rémunération en cas de maladie ou descente de machine.

Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !

Télécharger la pétition au format .pdf

UNE VICTOIRE POUR LES LUTTES !

Élections aux CA du Groupe SNCF

Édito

Les cheminot·e·s et les salarié·e·s des filiales étaient appelé·e·s à voter du 4 au 10 décembre afin d’élire leurs représentant·e·s aux CA des Sociétés Anonymes composant désormais le Groupe Public Unifié.

La CGT progresse de 2,05 % à la SNCF et ses filiales et dans tous les scrutins.

La CGT salue l’engagement de celles et ceux qui font vivre la démocratie dans les entreprises.

Les cheminot·e·s et les salarié·e·s des filiales concernées ont confirmé leur attachement et leur confiance à un syndicalisme démocratique, rassembleur, offensif et force de propositions en renforçant la CGT comme première organisation syndicale.

Toutefois, le mode de scrutin par voie électronique, dans une période particulière liée au contexte sanitaire et à la mise en oeuvre de la réforme de 2018, démontre que la dématérialisation, poussée à son extrême, est un frein à l’exercice démocratique dans l’entreprise SNCF et son groupe.

Les salarié·e·s ont exprimé leur volonté de ne pas voir dépecer le Service Public Ferroviaire, avec les conséquences que cela pourrait avoir sur les sociétés du groupe. (suite…)

La vraie info - Le JT des cheminots

Dans les médias

31 janvier 2025

Un débat public à Saintes pour échanger sur la privatisation du TER en Nouvelle-Aquitaine

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