Fédération CGT des Cheminots


ArchivesJanvier 2018

LE 08 FÉVRIER, IMPOSONS UNE AUTRE POLITIQUE POUR LE FRET SNCF !

Manifestation nationale du 8 février 2018

| Action du 8 février 2018

La Fédération CGT Cheminots a été reçue par la direction du Fret le 25 Janvier 2018 dans le cadre d’une Demande de Concertation Immédiate sur les sujets très importants de la Recapitalisation / Filialisation, du budget 2018, des réorganisations, de la polyvalence et plus globalement de l’avenir du Fret SNCF..

L’article du journal « les Echos » du 24 janvier dernier, annonçant la filialisation prochaine du Fret SNCF, lance la campagne de communication conjointe du gouvernement et de la direction de l’entreprise pour accréditer l’idée que la filialisation est inéluctable. Pourtant, la SNCF avait démenti dans les médias en Octobre 2017 tout « projet de filialisation ou de privatisation pour 2018 »…

Depuis le début des années 2000, et plus largement dans le cadre de l’ouverture à la concurrence en 2006, la direction de la SNCF n’a eu de cesse de réorganiser cette activité.

Même si le Président Pepy avait dû reconnaître que les plans successifs avaient été un échec, la direction a continué à reproduire les mêmes erreurs pour arriver malheureusement à un gâchis économique et social !!

Depuis des années, la CGT a fait, en interne comme en externe, nombre de propositions qui sont toujours d’actualité, comme par exemple une logistique territoriale de proximité, une nouvelle approche commerciale, un nouveau système de production à deux niveaux…

Par pur dogmatisme, gouvernements successifs et direction de la SNCF ont toujours refusé d’étudier concrètement ces propositions alternatives.

Pour la CGT, les ressources internes à la SNCF doivent être utilisées pour aider le Fret SNCF et relancer une nouvelle dynamique pour cette activité qui est d’utilité publique.

Les effectifs ont été divisés par 2 entre 2009 et 2016 avec une production totalement désorganisée et des fermetures de nombreux triages et gares Fret qui ont conduit les chargeurs à se détourner du FRET SNCF.

Le volume de marchandises transporté par le Fret SNCF est passé de 55 Milliards de Tonnes Kilomètres (GTK) au début des années 2000 à un peu plus de 20 aujourd’hui.

Des projets pour révolutionner le combiné rail route ont été abandonnés. La modernisation et le renouvellement des locomotives sont arrivés trop tardivement. Le wagon isolé a été remplacé par « multi-lots multi-clients » qui irrigue seulement quelques grands axes et 11 sites. A cela s’est ajouté un manque criant de recherche et développement.

Ce ne sont pas moins de 584 emplois qui sont annoncés être supprimés par la Direction en 2018.

La CGT demande que cette purge de l’emploi cesse et qu’un véritable plan offensif de recrutement soit mis en place avec des embauches au Cadre Permanent pour assurer correctement la production.

AVENIR DES TRIAGES ET MENACE SUR LES LIGNES UIC 7 A 9

Interrogée sur l’avenir des triages, la Direction confirme que sa stratégie est toujours basée sur les 5 grands triages qui concentrent l’activité (Le Bourget, Woippy, Sibelin, Miramas et Dunkerque).

Sur Dunkerque, la direction indique qu’il n’y aura plus d’investissement et donc, à terme, des menaces sérieuses sur son exploitation, sans toutefois préciser à quelle échéance.

Interpellée par ailleurs sur l’impact que pourrait avoir la fermeture de nombreuses lignes UIC 7 à 9 dans le sillage des préconisations du rapport DURON, la Direction reconnaît que c’est un sujet, mais qu’elle n’a pas la main sur les infrastructures…

POLYVALENCE À TOUS LES ÉTAGES

La Direction confirme rechercher la polyvalence des agents pour faire de la productivité. Elle n’hésite pas pour cela à bousculer les contours des métiers au mépris du dictionnaire des filières et de la sécurité ferroviaire. Pour la CGT, le respect des métiers et de la formation des agents est un gage d’efficacité et de sécurité.

Cette question est d’ailleurs au coeur des débats du volet Classification de la CCN ferroviaire.

Dans ce registre, Fret SNCF, pour l’instant, ne se distingue malheureusement pas des autres opérateurs privés.

Le Fret SNCF relève pleinement du service Public !

En effet, avec une part modale du fret désormais passée sous la barre des 10%, il est plus nécessaire que jamais de relancer ce mode de transport respectueux de l’environnement.

Les engagements du Grenelle de l’environnement et de la COP 21 ne sont, pour l’heure, que de vagues slogans !

La Fédération CGT des Cheminots vous appelle à participer massivement à la manifestation Nationale à 13H Place de la République à Paris pour porter haut et fort les revendications suivantes :

  •  L’arrêt des restructurations et du projet de recapitalisation/filialisation

  •  Un recrutement massif à statut pour répondre à des Cadres d’Organisation correctement dimensionnés

  •  L’arrêt des suppressions d’emplois

  •  L’abandon de la mise en place des métiers mono-activité et de la multiplication des polyvalences

  • Un véritable service public de transport ferroviaire de marchandises.

LA SNCF : CERTAINS VEULENT LA DESCENDRE, NOUS ON LA DÉFEND !

Un préavis a été déposé couvrant les cheminots du Fret sur la période du mercredi 07 février à 19h00 au vendredi 09 février à 08h00.

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PERSONNELS CE-CCGPF – CHEMINOTS CONVERGENCES DES LUTTES !

Manifestation nationale du 8 février 2018

| Action du 8 février 2018

Les ordonnances MACRON actent la disparition des CE DP et CHSCT à la SNCF, en créant une instance unique : le CSE (Comité Social et Economique).

Une nouvelle fois, Gouvernement et Direction SNCF attaquent les CE. Ceci aura pour conséquence de modifier les moyens et périmètres de ces derniers.

La CGT, force de proposition, a toujours défendu la proximité des IRP et des activités sociales, culturelles et sportives pour l’ensemble de la famille cheminote, dont le personnel CE-CCGPF fait partie intégrante.

Les personnels CE CCGPF sont la vitrine des CE, le relais au quotidien de notre projet politique commun en matière d’émancipation des salariés.

À la SNCF, ces dernières semaines sont marquées par des annonces tous azimuts de destruction de services, de fermetures de lignes, de triages, d’activités, synonymes de baisse de la sécurité ferroviaire avec, en toile de fond, une nouvelle réforme du ferroviaire.

Dans ce cadre, les cheminots ne se laissent pas faire et organisent la lutte avec envahissements de CER, colloques, pétitions, débrayages…

Face à cette situation, un plan d’urgence est plus que nécessaire si nous voulons un service public ferroviaire SNCF de haut niveau répondant aux besoins de la Nation.

Pour les personnels techniques des CE et du CCGPF, la situation est la même qu’en 2015 : nous devrons défendre un accord sur la mutualisation des activités sociales et culturelles afin de maintenir ces dernières en proximité pour répondre aux besoins de l’ensemble des cheminots. Avant cela, il faut nous battre pour gagner le maintien d’une entreprise publique ferroviaire.

Concernant la mise en place des futurs CSE au sein du Groupe Public Ferroviaire, un projet d’accord d’entreprise a été porté de manière unitaire par la CGT, UNSA, Sud-Rail et la CFDT auprès de la Direction de l’entreprise SNCF.

Pour autant, tout reste à faire car ces propositions ne sont pas celles que la Direction SNCF envisage de mettre en place. Battons-nous pour imposer un accord qui garantisse le maintien d’instances de proximité, le développement des activités sociales, le maintien de nos emplois.

Le collectif CGT des Personnels CE-CCGPF appelle l’ensemble des personnels CE-CCGPF à se mobiliser dans le cadre de la convergence des luttes avec les cheminots dans cette période critique, pour construire le rapport de force suffisant permettant de changer la politique de l’entreprise SNCF.

PERSONNELS CE-CCGPF / CHEMINOTS !
TOUS ENSEMBLE
LE 08 FÉVRIER 2018 À 13H
PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À PARIS

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LA DIRECTION FAIT LE MAUVAIS CHOIX !

Comptabilité fournisseurs

| Action du 8 février 2018

La CGT a déposé une DCI à la Direction de Réseau concernant son projet de fermeture 3 plaques comptables sur 6 à la Direction Finances Achats. La CGT a proposé que cette DCI soit unitaire. Cependant, deux organisations syndicales ont préféré détourner le CE DG Réseau et le CHSCT pour avancer le travail de sape de la Direction, plutôt que de défendre les cheminots.

La CGT a été reçue, en DCI, ce 22 janvier 2018 au siège de SNCF Réseau, afin d’entendre la Direction sur son funeste projet.

La Direction a justifié son choix de projet du fait de :

  •  La simplification des procédures comptables entre le moment du rattachement de RFF à la SNCF et aujourd’hui ;
  •  La faible charge de travail des comptables de Réseau, comparée aux autres EPIC (la Direction estime à 4000 le nombre de factures par an et par agent pour Réseau contre 8000 dans les deux autres EPIC !) ;
  •  L’optimisation de la productivité dans le cadre du plan de performance 2020, soit 20 % de gains orientés uniquement sur la masse salariale ;
  •  Et l’automatisation de certaines procédures à la compta et aux achats.

Le choix de fermer Rennes, Bordeaux et Marseille :

Volonté de centralisation de la compta-fournisseurs de Réseau au plus près de Paris, là où se trouvent les managers décisionnaires.

La Direction affirme qu’il n’y a pas besoin de proximité des comptables avec les besoins métiers, mais qu’il est nécessaire de renforcer la proximité avec la Direction Centrale !

Pour la CGT, ce choix s’appuie sur des chiffres faussés et fait ressortir le seul choix de productivité extrême imposée aux comptables de l’EPIC Réseau.

En supprimant 3 plaques et 62 postes, la Direction saccage le savoir-faire et l’expertise des plaques, sans compter qu’elle détériore encore une fois les bassins d’emploi de province.

Aussi, les cheminots de Lille, Reims et Paris, dont le cadre d’organisation n’est déjà pas tenu, devraient une charge de travail gigantesque.

La Direction prévoit 15 recrutements ! Sauf que Lille compte déjà 7 départs à venir et 10 postes sont non couverts sur Paris ! Sans être mathématicien, cela ferait -2 et non +15 !

Ce que l’on nous cache :

(Bilatérale CGT/Optim’services du 17 janvier 2018).

La Direction d’Optim’services (EPIC de tête) annonce son projet de regrouper les Directions comptables de Réseau et de Mobilités à l’EPIC de Tête, afin de bénéficier d’une Direction Comptable Centrale pour l’ensemble du GPF. La volonté de l’EPIC SNCF serait de rattacher la compta-fournisseurs à Optim en conservant le maillage et l’effectif actuels. Optim’services souhaite une proximité avec les territoires afin de garder en efficacité et en proximité.

La DG Réseau feint l’ignorance, pourtant des rencontres sont prévues entre les deux directions.

La réalité, Réseau souhaite conserver sa propre compta dans l’optique de devenir indépendant des procédures comptables du GPF et de gérer sa compta à sa sauce, en continuant à faire jouer sur la concurrence entre EPIC, mais surtout sur la concurrence externe. D’ailleurs, Réseau envisage de manière unilatérale l’externalisation d’un maximum de tâches de la comptabilité-fournisseurs. Ne soyons pas dupes !

Le schéma viable :

La réforme, signée par la direction et ses partenaires, n’a de cesse que de désorganiser le travail, piétiner nos compétences et détériorer nos conditions de vie et de travail.

Avec ce schéma de 3 EPIC dans un GPF, la CGT a toujours revendiqué le rattachement des directions centrales des Services Transverses à l’EPIC de tête, y compris pour la Comptabilité-Fournisseurs. Pourquoi ?

  •  C’est garantir l’unicité du Groupe Public Ferroviaire par un caractère solidaire et indissociable des 3 EPIC ;
  •  C’est garantir une application homogène des réglementations et des processus ;
  •  C’est empêcher la concurrence entre EPIC et permettre les passerelles ;
  •  C’est consolider la sauvegarde de notre expertise métier en tant que cheminots !
  •  C’est permettre de réelles perspectives de montée en compétences et d’évolution de carrière au sein du GPF.

Pour la CGT, la réunification des Directions Comptables à l’EPIC de tête est de l’intérêt des cheminots et de l’Entreprise !

Une Direction Centrale devant être représentée dans les EPIC, puis en territoires ainsi qu’en établissements en lien avec les Achats, cela permettrait une organisation du travail cohérente et efficace !

Parce que le rapport de forces est devenu nécessaire, parce que nous voulons exercer notre métier, parce que nous sommes et voulons rester cheminots, la CGT appelle les comptables des 6 plaques DFA Réseau à se mettre en grève et à se rassembler le 08 février 2018, à 13h00 Place de la République à Paris, dans le cadre de la manifestation nationale des cheminots. Un préavis spécifique sera déposé à la DG Réseau en ce sens !

LA SNCF,
CERTAINS VEULENT LA DESCENDRE, NOUS ON LA DÉFEND !

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ENVIRONNEMENT DU TRAVAIL, NOS MÉTIERS MENACÉS D’EXTERNALISATION

Manifestation du 8 février 2018

| Action du 8 février 2018

La Fédération CGT appelle les cheminots à se rassembler et manifester le 08 février 2018 !
Les cheminots de l’Environnement du Travail réaffirment leur attachement à leur métier et la volonté d’en assurer le développement par une progression de l’emploi et l’amélioration des conditions de travail.

Édition/Reprographie : Depuis plusieurs années, les départs à la retraite ne sont plus remplacés.

La Direction a volontairement mis en difficulté les cheminots pour réaliser le travail en qualité et dans les délais exigés. L’impossibilité d’absorber la charge, du fait du manque d’effectif, a servi de prétexte à la Direction pour externaliser une partie des tâches des cheminots de l’Edition et de la Reprographie.

Imprim’services : Un énième nouvel outil d’automatisation des tâches qui permettrait d’améliorer les conditions de travail des personnels. Pour autant que cet outil ne soit utilisé que dans cette optique et non dans un nouveau projet de suppressions de postes et de taylorisation du travail.

Pour la CGT, la modernisation des techniques, la numérisation des outils doivent effectivement permettre d’améliorer les conditions de travail, d’élargir les moyens à la formation et donc la montée en compétences des cheminots de l’Edition et de la Reprographie.

Aussi, les effectifs doivent être revus à la hausse de manière à être en capacité de ré-internaliser la charge de travail confiée au privé.

Facility Management : (Environnement de Travail)

La politique d’Entreprise est clairement de réduire le FM à une Direction « de pilotage » de prestations externes.

Cela ne prend pas en compte le fait que les cheminots de l’Environnement du Travail sont seuls à gérer avec efficacité les besoins organisationnels des services de la SNCF. Ces cheminots connaissent les locaux, le type de travail qui y est réalisé et donc précisément les besoins des métiers.

En faisant appel à des prestataires, on perd cette proximité, ces compétences et donc l’efficacité du service rendu. Les conséquences se ressentent en cascade dans les différents services qui sollicitent Facility Management. Nous en avons un exemple concret avec l’externalisation de la gestion du tri courrier qui pose de réels problèmes à tous les cheminots.

La CGT dénonce ce choix de politique pour l’ensemble des métiers de l’Environnement du Travail.

La CGT s’oppose fermement à l’externalisation de nos métiers et à la destruction de notre savoir-faire. Nos compétences sont essentielles au bon fonctionnement des différents services des 3 EPIC. Notre expertise logistique participe aux bonnes conditions de travail de l’ensemble de nos collègues.

Parce que le rapport de forces est devenu nécessaire, parce que nous voulons exercer notre métier, parce que nous sommes et voulons rester cheminots, la CGT appelle tous les cheminots de l’Environnement du Travail à se mettre en grève et à se rassembler le 08 février 2018, à 13h00 Place de la République à Paris, dans le cadre de la manifestation nationale des cheminots.

LA SNCF,
CERTAINS VEULENT LA DESCENDRE, NOUS ON LA DÉFEND !

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LA CGT DONNE RENDEZ-VOUS AUX CHEMINOTS LE 08 FÉVRIER À PARIS AFIN DE DÉFENDRE LEUR POUVOIR D’ACHAT ET LEUR DÉROULEMENT DE CARRIÈRE

Réunion de présentation - Exercice de notations 2018/2019

| Action du 8 février 2018

Les années passent, mais les mauvais coups portés aux cheminots en matière de déroulement de carrière et de rétribution de leur force de travail demeurent.
Le volume de contingents attribués cette année est dans la lignée des années précédentes.
La direction préfère miser sur la rentabilité capitaliste individuelle par l’augmentation de l’intéressement ou distribuer des primes individuelles non liquidables, plutôt que de consacrer le fruit de notre force de travail aux augmentations générales des salaires et à un déroulement de carrière décent.

Nous le constatons année après année, la direction persiste dans sa politique d’éradication des emplois de cheminots à Statut.

Avec un effectif réel au 31 décembre 2017 de 131031 cheminots au Cadre Permanent contre 134222 à la même date l’an passé, ce sont 3191 suppressions d’emplois au cadre permanent qui auront eu lieu au cours de l’année 2017.

A noter qu’au 11 janvier 2018, il ne reste déjà plus que 130597 cheminots à Statut.

Depuis le début de la décennie, ce sont plus de 16000 emplois à Statut qui ont été supprimés, majoritairement sur les qualifications du collège exécution.

Cette politique de casse de l’emploi fragilise grandement notre système de protection sociale, mais n’est-ce pas là le but de la direction et des gouvernements qui viennent de se succéder ?

Année après année, la direction recrute du personnel hors Statut dans une proportion croissante, ce qui a un impact non négligeable sur le volume de contingents, mais également sur les volumes de positions de rémunération.

Alors que la situation de l’entreprise en 2017 a été, selon la direction, « une bonne année » en matière de résultats économiques, la direction annonce, dans un premier temps, un volume de seulement 5570 passages en niveaux pour l’ensemble des qualifications.

Cette proposition est une véritable provocation après 3 années de gel des salaires.

La direction reste bloquée sur l’application d’une règle consistant à abaisser de manière mathématique le volume de contingents de niveaux parce que les effectifs éligibles présents sur le niveau 1 baissent (-5,11% cette année).

Cette méthode de calcul, la Fédération CGT des Cheminots la conteste fermement car elle ne tient pas compte des délais moyens d’attente pour passer au niveau supérieur.

Elle ne tient pas non plus compte des écarts importants qui demeurent sur les délais d’attente selon les circonscriptions de notations.

Après 2 suspensions de séance, la direction a fait les propositions suivantes :

Capture d’écran 2018-01-26 à 15.45.00

 

Capture d’écran 2018-01-26 à 15.45.09

Une nouvelle fois, le volume de contingents de niveaux est en baisse de – 200 niveaux par rapport à l’exercice 2017/2018.

Au cours de cette réunion, sous la pression des représentants CGT, la direction a été contrainte de revoir sa position concernant le volume accordé aux qualifications B et C. Néanmoins, il aura fallu plus d’une heure pour que la direction octroie 100 niveaux supplémentaires pour ces qualifications.

Concernant l’exercice de notations par lui même, de très nombreuses commissions vont avoir à appliquer le RH0910. Il remonte déjà que certains établissements tentent de s’affranchir des dispositions de ce texte. La Fédération CGT et ses délégués de commission seront particulièrement vigilants face à tout dysfonctionnement.

La Fédération CGT a demandé que les agents relevant du RH0254 (contractuels) ne soient pas les oubliés de l’exercice de notations, comme c’est trop souvent le cas. Les délégués CGT examinent le cas de chacun de ces personnels en commission.

La CGT a réitéré sa demande de mise en place d’un dispositif corrigeant les inégalités entre chaque circonscription de notations, afin d’assurer à tous les agents un même déroulement de carrière, par l’attribution d’un contingent supplémentaire prenant appui sur les délais moyens les plus courts, ce qui permettrait de résorber les fortes disparités entre les régions. La direction s’y est refusée, indiquant qu’elle prendrait en compte ces inégalités lors de la répartition des contingents sur l’ensemble des circonscriptions de notations.

Le compte n’y est pas !
La Fédération CGT des Cheminots vous donne rendez-vous

le 08 février 2018

pour la manifestation nationale des cheminots !

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L’IHS a 20 ans !

Billet de l'IHS

| IHS

20_ans_ihsOui, cela fait vingt ans que nous vous faisons connaître l’expérience accumulée par notre fédération au fil du temps. Vingt ans encore que nous rendons compte de ses combats et luttes revendicatives, lesquels témoignent que les syndiqués et les cheminots ont toujours été les maîtres d’oeuvre de leur histoire sociale.
Écrire l’histoire, comme nous le faisons, ce n’est pas seulement rapporter les faits, rechercher les sources d’information ou exposer un savoir. Les événements que nous vous restituons sont examinés et analysés dans le sens de l’évolution générale des rapports sociaux, des conditions sociales et des transformations permanentes dans la société en général, et dans le ferroviaire en particulier.

Nous les traitons de manière à vous en communiquer le sens, en les interprétant selon la dynamique de la vie et des luttes par lesquelles les cheminotes et cheminots tendent à se libérer des contraintes et des aliénations qui entravent leur plein épanouissement. Notre histoire nous enseigne que rien n’est statique, que les évolutions alternent parfois avec des soubresauts ou des reculs momentanés pouvant être ressentis comme des défaites. Mais son éclairage nous confirme que sa marche est emmenée par les luttes pour le progrès social.

En prenant appui sur ces vingt années d’expérience, l’IHS s’est engagée dans une démarche d’évolution. Nous allons ainsi nous doter d’un nouveau site internet et d’une bibliothèque numérique accessible à toutes et à tous. Nous avons aussi la volonté de mieux répondre aux questionnements et attentes de nos adhérents, en nous tournant vers tous nos syndicats et sections, pour les associer par l’adhésion à notre activité. Nous allons aussi – et enfin – vous proposer le prélèvement automatique de votre adhésion, ce qui soulagera le travail des structures syndicales.

Patrick Chamaret, président de l’IHS des cheminots.

L’ENCADREMENT SUR LA LIGNE DE FRONT …

Action du 8 février 2018

| Action du 8 février 2018

Positionnés sur les hauts dirigeants comme des militants de la politique de l’entreprise, bien souvent l’encadrement n’a plus l’autonomie nécessaire pour mener à bien sa mission de gestion des compétences de réalisation et d’amélioration de la production …

Nous sommes revenus dans un système pyramidal, entrainant des inégalités de traitement, la dévalorisation des diplômes, examens et des compétences d’expertises métiers.

L’autonomie figurant souvent en première ligne dans les fiches de poste se résume à se débrouiller à faire plus sans moyens supplémentaires, et ceci coûte que coûte… Une simple demande d’adaptation des moyens même en cas de crise est considérée comme un acte de rébellion …

Avec le management par les indicateurs et pour des objectifs de rentabilité financière à court terme, nous ne répondons plus aux besoins des usagers du service public de transport ferroviaire mais aux attentes de « clients » … Et qui sont nos « clients » ? Les Autorités Organisatrices, les entreprises du GPF, les entreprises ferroviaires, les voyageurs, nos collègues, les banques … ?

Avec cette politique qui cultive la concurrence et l’individualisme, l’encadrement se retrouve souvent seul face à son désarroi ou son exaspération. Lors de nos tournées syndicales nombreux sont celles et ceux qui nous font remonter que :

✓ Faire toujours plus avec toujours moins, dans un contexte de complexification des tâches, d’alourdissement des circuits, des procédures et d’outils défaillants, est un objectif (un « challenge » que nous vendent certains) inatteignable.
✓ Ne plus supporter la culpabilisation et le mal-être qui découlent de l’injonction paradoxale entre rendement quantitatif toujours plus élevé et exigence de qualité.
✓ Ne plus accepter de subir tout cela pour au final rendre un service pour le moins dégradé à nos usagers.

Demain, J-C Spinetta rendra son rapport au premier ministre, pour un nouveau modèle économique de la SNCF. La réforme ferroviaire de 2014 nous a bien menés vers une impasse vouée à n’être qu’une étape de l’éclatement du service public. L’échec prévisible notamment pour la trajectoire de la dette et les dysfonctionnements issus des divergences entre le gestionnaire et l’utilisateur de réseau, servent de nouveau prétexte aux politiques libérales.

STOP, les « il faut bien essayer quelque chose » ne tiennent plus.

Aujourd’hui il y a urgence !

C’est ensemble, avec vous, enrichis de vos compétences, de vos qualifications, de vos réflexions, de vos critiques, par la mobilisation, que nous pourrons faire face pour enfin redonner un véritable sens à nos métiers et nos responsabilités !

La Fédération CGT des cheminots et son Union Fédérale des Cadres et Maîtrises revendiquent :

✓ Le retour à une entreprise publique, unique et intégrée : la SNCF, seule garante d’un fonctionnement cohérent de l’ensemble des services de l’entreprise.
✓ La reprise de la dette par l’État sans contrepartie et un financement public à la hauteur des enjeux futurs. Sans la maîtrise publique du chemin de fer par l’État, nous n’aurions jamais connu l’électrification des lignes, la grande vitesse etc. …
✓ L’arrêt immédiat des suppressions d’emploi et des embauches au Statut à la hauteur des exigences du service public ferroviaire.
✓ L’arrêt de la réduction de l’offre ferroviaire par le maintien, voire la réouverture de gares, de lignes, permettant à la SNCF de remplir ses missions de service public partout et pour tous.
✓ L’arrêt de toute velléité d’ouverture à la concurrence, contraire à l’intérêt général, à la réponse aux besoins des populations, au maintien du service public en tout point du territoire.

Quel que soit notre métier, que nous soyons actifs ou retraités, exécution, maîtrise ou cadre, nous sommes tous concernés par les projets régressifs qui s’apprêtent à frapper le mode ferroviaire et en particulier l’entreprise publique SNCF. Nous avons tous notre place à prendre le 8 février 2018 !

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LE GOUVERNEMENT VEUT-IL EN FINIR AVEC LE TRAIN PUBLIC ?

Manifestation nationale du 8 février 2018

| Action du 8 février 2018

La CGT des Cheminots s’adresse à vous aujourd’hui car elle considère qu’un débat public national sur l’avenir du train public est nécessaire.

  •  1997 : Endettement de la SNCF suite à la construction des Lignes à Grande Vitesse (LGV). Eclatement du système ferroviaire en 2 entités distinctes (SNCF et RFF).
  •  2014 : Endettement de la SNCF, dysfonctionnements générés par les conflits entre SNCF et RFF. Eclatement en 3 entités (SNCF, SNCF Réseau et SNCF Mobilités).
  •  2018 : Une nouvelle réforme se prépare. Nouvel éclatement encore plus important. Ouverture à la concurrence du trafic voyageurs. Multiplication d’entreprises ferroviaires privées sur le réseau national.
CONCURRENCE FERROVIAIRE : LE MAUVAIS CHOIX !

L’ouverture à la concurrence des trafics voyageurs reviendrait à accorder l’exploitation de certaines relations ferroviaires à des entreprises privées sur tout ou partie du réseau.

La particularité du mode ferroviaire nécessite une coordination optimum pour assurer la sécurité et la qualité du service car chaque train peut avoir un impact sur les autres. Or, la multiplication des acteurs va complexifier cette tâche.

Les collectivités devraient alors accroître leur financement, notamment par l’impôt. Les usagers verraient les prix augmenter. Il y aurait une pression pour abandonner certaines dessertes sous prétexte de « rationalisation ». C’est le contraire de la politique qu’il faudrait mener.

AILLEURS C’EST COMMENT ?

En Angleterre, depuis la renationalisation des infrastructures en 2002, les problèmes de sécurité ont été en partie résolus. En revanche, les Britanniques ont manifesté leur colère dans une centaine de gares début janvier 2018 car les prix explosent (27% d’augmentation en 7 ans), la régularité est catastrophique et le matériel roulant n’a pas été suffisamment renouvelé par les compagnies privées.

Ils exigent donc l’abandon des concessions et la renationalisation complète (ils sont 58% à soutenir cette solution selon le dernier sondage).

QUE PROPOSE LA CGT ?

 Au regard des enjeux sociaux et environnementaux, la CGT propose :

  •  Que la réponse aux besoins soit la ligne directrice de la future politique publique des transports ;
  •  Que l’Etat reprenne son rôle d’organisateur et assume ses responsabilités (reprise de la dette sans contreparties) ;
  •  La renationalisation des autoroutes concédées (qui versent chaque année plus d’un milliard d’euros de dividendes à leurs actionnaires) ;
  •  L’application du versement transport à l’ensemble des entreprises et l’élargissement de celui-ci qui ne finance actuellement que les réseaux de transports urbains et pas les TER ;
  •  La fusion des 3 entités actuelles du Groupe Public Ferroviaire pour récréer une entreprise publique unique permettant aux cheminots de mieux travailler ensemble ;
  •  La mise en place d’une structuration de la SNCF qui permette de mutualiser les ressources, d’assurer la sécurité des circulations, la présence du mode ferroviaire dans tous les territoires et une meilleure communication en cas de perturbation ;
  •  Le développement de l’emploi cheminot au Statut pour garantir la régularité, la présence humaine, la qualité du service public et la sécurité ;
  •  La création de droits nouveaux pour les comités d’usagers qui doivent pouvoir avoir un rôle décisionnel sur la politique de l’entreprise publique ;
  •  De nouvelles règles de transparence et de lisibilité des tarifs.

Les cheminots CGT vous alertent car cet éparpillement et cette privatisation déguisée du service public ferroviaire ne pourront pas résoudre les problèmes quotidiens que vous subissez. Au contraire !

C’est pourquoi la Fédération CGT appelle les cheminots, les usagers, leurs associations ainsi que toutes celles et ceux qui sont attachés au service public ferroviaire, à participer à une manifestation nationale le 8 février 2018, place de la République à Paris à 13h00.

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LA CGT GAGNE LA RÉTROACTIVITÉ DU BAC+3 SUR LES 5 DERNIÈRES ANNÉES !

Table ronde n°2 recrutement du personnel paramédical

| Action du 8 février 2018

La deuxième Table Ronde sur l’évolution du recrutement paramédical s’est tenue ce 19 janvier 2018.
La CGT, à l’initiative de ces rencontres, a obtenu la reconnaissance du diplôme BAC+3 lors de la première Table Ronde, le 11 décembre dernier. La CGT obtient aujourd’hui la rétroactivité de cette reconnaissance.

La CGT a rencontré la Direction à plusieurs reprises depuis 2015, afin d’obtenir la reconnaissance du diplôme BAC+3 des personnels paramédicaux. En avril 2017, la CGT seule a obtenu l’ouverture d’une Table Ronde. Lors de la première Table Ronde, la CGT a obtenu la reconnaissance du diplôme !

Cependant, pour la CGT, il manquait la rétroactivité de cette reconnaissance de diplôme, validée par le gouvernement depuis déjà 5 ans.

La CGT a donc exigé une seconde Table Ronde, cette fois, pour obtenir la rétroactivité de la reconnaissance du diplôme depuis 2012.

La CGT a obtenu la rétroactivité de la reconnaissance du diplôme pour TOUS les cheminots des services médicaux embauchés depuis 2012, ainsi que la reconnaissance de la Licence de Sécurité et Santé au Travail.

Agents au RH0254, 3 situations :

  •  Embauches en cours et futures = attribution du grade PARA 5 (catégorie 5, niveau Licence) ;
  •  Embauchés après le 1er janvier 2012 = régularisation rétroactive sur un grade PARA 5 ;
  •  Embauchés avant 2012 mais titulaires d’une licence SST = régularisation rétroactive à compter du mois qui suit l’obtention de la Licence.

Pour les deux derniers cas = régularisation d’approximativement 85 euros par mois.

Agents du Cadre Permanent, 4 situations :

  •  Embauches en cours et futures = Cursus d’attaché TS ramené à 3 ans (sauf longue absence ou défaut de service), soit entrée à la position 14 et sortie à la position 17 (au lieu de 13 pour 16 auparavant) ;
  •  Embauchés après le 1er janvier 2012 actuellement à la position 16 = régularisation à la position 17 Hors Compte au 1er janvier 2018 ;
  •  Embauchés après le 1er janvier 2012 ayant obtenu la position 17 avec un délai de séjour supérieur à 4 ans* (*durée du cursus Att TS avant janvier 2018) = gratification exceptionnelle de la valeur d’une position à l’échelon 3, soit environ 60 euros multipliés par le nombre de mois perdus ;
  •  Embauchés en 2016, 2017 : possibilité de choisir d’entrer dans un cursus d’ATT TS avec une sortie de ce cursus à 17 au lieu de 16 (cursus pouvant être ramené à trois ans en l’absence d’objection au service). Cela impose la régularisation aux PR intermédiaires en cours de cursus (ex. Un agent embauché il y a 1 an doit être régularisé à 15).

Reconnaissance de la Licence Santé au Travail :

Les infirmiers et techniciens de laboratoire titulaires d’un diplôme obtenu avant 2012 (reconnu BAC+2 par l’Etat) et qui passeraient leur licence SST seront reconnus BAC +3 le mois qui suit l’obtention de la licence.

ATTENTION : La CGT porte à votre attention que le logiciel HELIOS n’est toujours pas fiable. La CGT invite donc tous les cheminots se reconnaissant dans un des cas ci-dessus à présenter leur(s) diplôme(s) à leur hiérarchie afin de régulariser leur situation.

Le cas échéant, vos représentants du personnel CGT se tiennent à votre disposition.

La CGT gagne sur la reconnaissance du BAC+3, mais ne s’arrête pas là !

Ancienneté : La CGT entend poursuivre le travail sur la reconnaissance à 100 % de l’ancienneté dans le métier et donc de l’expérience professionnelle acquise lors de l’embauche.

Évolution de carrière : La CGT exige l’évolution de la fiche métier infirmier et technicien de laboratoire, tel un poste à fourchette E sur F, afin de permettre une juste évolution de carrière dans le métier d’infirmier.

Infirmier polyvalent : La CGT continue d’exiger la reconnaissance de la pluri-compétences et de la mobilité qu’exige le poste d’infirmier polyvalent, par l’attribution d’une « prime de réserve » telle qu’elle est attribuée aux filières 26 et 27 (commercial et transport mouvement).

Parce que le rapport de forces est devenu essentiel pour remporter des victoires, parce que nous voulons d’autres victoires comme celle-ci, la CGT appelle les personnels des Services Médicaux à se rassembler le 08 février 2018 à 13h00 Place de la République à Paris, dans le cadre de la manifestation nationale des cheminots.

LA SNCF,
CERTAINS VEULENT LA DESCENDRE, NOUS ON LA DÉFEND !

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DIRECTION ET GOUVERNEMENT RACKETTENT LES CHEMINOTS MALADES !

Flash – Jour de carence

| Action du 8 février 2018

Le projet de Loi de Finances pour 2018 a fait l’objet d’un amendement d’une députée LREM visant à instaurer un jour de carence pour les cheminots en arrêt de travail pour maladie.
Cet amendement a été adopté !
La loi prévoit désormais que les cheminots malades se verront retirer une journée de salaire (sauf exceptions prévues par la loi).
La Fédération CGT des Cheminots attend de la direction qu’elle renonce à cette mesure cynique !

L’instauration d’un jour de carence chez les cheminots atteste du niveau de cynisme de  la  majorité  parlementaire  et  de  ses  soutiens,  qui  considèrent  que  les  salariés sont « fainéants » et les médecins incapables de discernement médical.

Cette mesure régressive est :

✓   Inefficace : une récente étude de l’INSEE démontre que la mise en place d’une journée de carence pour maladie dans la fonction publique en 2012 (supprimée en 2014 et réintroduite dans la Loi de Finances pour 2018), a eu pour effet de  diminuer  les  absences  courtes,  mais  d’augmenter  celles  d’une  semaine  à trois mois.
✓   Contraire  au  rôle  de  la  Sécurité  Sociale  qui  est  de  répondre  aux  besoins  des populations  et  « d’assurer  à  tous  les  citoyens  des  moyens  d’existence,  dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail ».
✓   Cynique car elle s’inscrit dans un contexte où 36 % de la population renoncent déjà  à  un  ou  plusieurs  soins  de  santé   du  fait  de  la  remise  en  cause  de  la Sécurité Sociale.
✓   Injuste car elle s’ajoute à une politique salariale désastreuse dans l’entreprise.
✓   Douloureuse  pour  les  cheminots  car  la  retenue  d’une  journée  de  salaire  pèse
sur les revenus du foyer des cheminots. Si l’actuelle Ministre des Armées était restée au sein de la SNCF avec ses quelques 52 000€ mensuels, elle aurait subi en cas de maladie, une retenue qui équivaut à un SMIC !
✓   Dangereuse  car  elle  incite  le  cheminot  à  ne  pas  respecter  un  arrêt  de  travail
prescrit par son médecin traitant, à prendre son poste dans un état de santé qui   ne   lui  permet   pas   de   le   faire   et   le   soumet   ainsi   à   des   injonctions contradictoires  entre  amputer  le  revenu  de  son  foyer  et  compromettre  sa sécurité et celle des autres…

Pour la CGT, il serait donc irresponsable, y compris pour la direction de l’entreprise, de mettre en place un tel système !

La Fédération CGT des Cheminots exige de la direction qu’elle renonce à mettre en œuvre cette mesure.

Pour l’heure, la direction se contente d’accepter de renoncer à la retenue du quart
de solde pour maladie prévue dans le Statut.

LA SNCF, LE RÉGIME SPÉCIAL DES CHEMINOTS, CERTAINS VEULENT LES DESCENDRE,
LA CGT LES DÉFEND !
RENDEZ-VOUS LE 08 FÉVRIER 2018 À PARIS PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À 13H00
POUR LA MANIFESTATION NATIONALE DES CHEMINOTS

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