L’exécutif est acculé. Il n’arrive pas à convaincre et tente de décrédibiliser la mobilisation par la provocation et la répression. Plus que jamais, à nous de serrer les rangs !

La mobilisation extraordinaire du 28 mars 2023 confirme la démonstration d’une opposition totale à la réforme. Grâce aux grèves engagées depuis deux mois et aux journées de mobilisations interprofessionnelles, qui ont atteint des participations historiques depuis 1945, la « mère des réformes » selon Macron est désormais noyée sous les vagues incessantes et régulières des multiples mobilisations.

ILS NE POURRONT PLUS TENIR LONGTEMPS !

La majorité se fissure et se désolidarise du mépris du président gâté de la République et de sa Première ministre. Par désespoir, elle invite les organisations syndicales sans écarter le sujet de la réforme en cours. Nous ne lâcherons rien !

Dorénavant, les salariés s’organisent pour tenir dans la durée et mettent le cap sur le 6 avril 2023 !

La victoire est possible. Elle doit nous ouvrir les portes pour gagner aussi sur les sujets du travail. Pour la CGT, ce ne sont pas les retraites OU nos conditions de travail. Pour la CGT, ce sont le droit à la retraite en bonne santé ET le droit de bien vivre et de bien travailler !

L’implication dans les mobilisations des maîtrises et cadres est ancrée. Le dialogue installé localement est serein. Le lien régulier entre cheminots de tous collèges permet de dépasser les clichés et les préjugés.

En ne rattrapant pas le travail des jours de grève, nous pesons sur la Direction, qui doit demander au gouvernement d’abandonner un projet inacceptable.

Les salariés unis et déterminés vont gagner !

La mobilisation doit continuer à être massive. L’antagonisme entre le monde porté par le patronat et les aspirations des salariés de tous collèges montre la divergence d’intérêts et sa traduction dans une lutte des classes entre travail et capital.

Cette réforme nous concerne tous : contractuels, statutaires, exécution, agents de maîtrise et cadres, public et privé, nous avons un intérêt commun ! Allons-y ensemble !

Les systèmes de retraite appartiennent aux salariés. Ils sont tous financés par des cotisations versées en échange de la réalisation de leur travail. Ils sont notre dû et une part de notre salaire socialisé.

À NOUS LE DERNIER MOT !

Toujours ensemble et déterminés, la victoire est au bout du chemin !

La mobilisation massive du 28 mars 2023 démontre, une fois encore, la très forte opposition contre la réforme des retraites.

Certains pronostiquaient l’essoufflement, ils en sont pour leurs frais ! En franchissant la barre des deux millions, le mouvement prouve, une nouvelle fois, sa vigueur et son ampleur.

De son côté, le Gouvernement s’entête et s’accroche à une position inflexible. Pourtant, les positions se fissurent et les belles certitudes commencent à voler en éclat.

La mobilisation est plus que jamais essentielle. La multiplication des initiatives en territoires et le rendez-vous du 6 avril doivent permettre de pousser plus fort encore pour les faire reculer !

Des niveaux de mobilisation très importants !

Les salariés et les citoyens se mobilisent depuis plusieurs semaines pour obtenir le retrait de la réforme des retraites visant à reculer l’âge de départ à 64 ans et à accélérer l’augmentation de la durée de cotisation. Les cheminots ont participé massivement à la réussite de la mobilisation du 28 mars pour exiger le retrait de la réforme des retraites. Ce mouvement social d’ampleur est très largement soutenu par la population.

Le Conseil constitutionnel pour sauver E. Macron ?

Le Gouvernement, dans son entêtement, déroule ses éléments de langage. Après le « cheminement parlementaire », voici le « cheminement constitutionnel » ! En clair, le Gouvernement considère que la partie sera jouée après le passage au Conseil constitutionnel, le 14 avril, qui a été saisi par des groupes parlementaires et par la Première ministre afin de se prononcer sur la validité de la réforme.

Les organisations syndicales ont, elles aussi, adressé leurs argumentaires au Conseil constitutionnel le 27 mars. L’objectif est clair, faire apparaître les problèmes de fond et de forme qui justifient une invalidation des mauvaises dispositions de cette loi calamiteuse.

Les « mains tendues » et les « ouvertures » sont purement fictives et n’éclipsent pas l’entêtement du Gouvernement.

6 avril : on continue tous à pousser !

Face à l’entêtement du Gouvernement, que les fausses « portes ouvertes » ne masquent pas, l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de mobilisations le 6 avril 2023.

Les cheminots, en assemblées générales, s’organisent collectivement pour durer. Cela démontre toute leur détermination !

Conscientes de l’effort continu et soutenu des cheminotes et des cheminots, les fédérations cheminotes CGT, UNSA-Ferroviaire, SUD-Rail et CFDT appellent tous les cheminots du GPU à se joindre aux actions organisées dans les territoires et à se mettre massivement en grève le 6 avril dans le mouvement intersyndical.

Rien ne change !

Ce 28 mars aura été une nouvelle fois la démonstration d’une opposition totale à la réforme des retraites !

Maintenant, cap sur le 6 avril et, d’ici là, on s’organise pour durer !

Les manifestations interprofessionnelles se succèdent et, avec elles, les citoyens réaffirment de manière définitive leur totale opposition à cette réforme qui signe l’échec de l’exécutif.

La « mère des réformes » selon Macron est désormais noyée sous les vagues incessantes et régulières d’une mobilisation qui ne faiblit pas.

NOUS EXIGEONS ENCORE ET TOUJOURS LE RETRAIT !

La détermination est intacte après 10 journées de manifestations interprofessionnelles et une grève reconductible lancée le 7 mars, notamment dans les chemins de fer.

Cette date, retenue par l’intersyndicale, peut sembler éloignée, cependant, elle nous permet de démultiplier les initiatives locales, d’aller à la rencontre de nos collègues pour les convaincre de rejoindre les grévistes, de créer ou maintenir un bouillonnement revendicatif dans l’entreprise et à l’extérieur !

La Fédération CGT des Cheminots, ses syndicats de proximité, ses militants ne lâcheront pas !

Ils ne renonceront pas à convaincre, pas plus qu’ils ne renonceront à se battre !

Alors qu’un puissant mouvement social se déroule dans le pays en opposition à une réforme injuste, quelques députés et sénateurs LR ont déposé, dans chacune des chambres du Parlement, des propositions de loi pour restreindre le droit de grève, à défaut de pouvoir convaincre les salariés qui demeurent largement opposés à cette réforme.

Le droit de grève est pourtant un droit constitutionnel, dans le cadre d’une « République indivisible, laïque, démocratique et sociale ». Déjà largement remise en cause par des lois et décrets liberticides, l’obligation de préavis a été imposée, puis la loi sur le service minimum de 2007 a instauré l’obligation de déclarer son intention de participer à la grève (DII). La liste des métiers qui y sont soumis a même été élargie en 2019.

Que contiennent ces projets de loi :

• Interdire le recours à la grève les jours et heures de fort trafic ;
• Interdire le recours à la grève les samedis et dimanches inclus dans les périodes de vacances scolaires ;
• Interdire le recours à la grève les jours fériés et certains jours qui précèdent et qui seraient fixés par décret (députés), ou encore à partir de la veille jusqu’au lendemain des jours fériés (sénateurs) ;
• Une peine de deux ans d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende en cas de non-respect.

Le contenu de ces projets de loi est purement scandaleux et est une énième provocation face à un mouvement social largement soutenu par la population. Nous le combattrons !

Rien ne nous détournera de ce pour quoi nous avons engagé la grève !

Les fédérations cheminotes se rencontreront à nouveau ce jeudi 30 mars afin d’analyser le contexte et préparer les suites, dans l’unité la plus large !

EXISTER, C’EST INSISTER !

Pour être plus fort, vous aussi, adhérez à la CGT !

Ce 28 mars, dixième journée interprofessionnelle depuis le 19 janvier, vient conforter notre volonté de poursuivre l’effort de la mobilisation engagée !

Nous sommes déterminés puisque 30 % des cheminots ont, à nouveau, cessé le travail.

Après avoir annulé certaines sorties officielles et la venue du roi d’Angleterre, le Président a reporté son déplacement à Toulon.

Le forcené de l’Élysée s’enferme et s’enfonce dans une posture intenable à terme.

À nous de le faire plier pour de bon !

Alors que nous entamons le quatrième mois de mobilisation sous diverses formes, les grèves, les initiatives locales et régionales, les manifestations ont encore marqué le paysage social.

Plusieurs millions de manifestants ont pris possession des rues de nos villes !

La jeunesse est entrée de plain-pied dans la lutte, notamment en appelant à une semaine de blocage à partir du 27 mars et en étant très présente dans les cortèges, puisque leur nombre a triplé par rapport au 23 mars !

L’intersyndicale fera de nouvelles annonces dans les prochaines heures.

Évidemment, la Fédération CGT appelle déjà les cheminots à mettre toutes leurs forces dans la bataille et à décider de la conduite de l’action sous le contrôle des AG.

De même, la Fédération CGT appelle ses militantes et militants à poursuivre le travail de conviction auprès de leurs collègues afin d’élargir la contestation, quel que soit le collège ou la fonction.

Cette réforme nous concerne tous !

Contractuels, Statutaires, Exécution, Agents de maîtrise et Cadres, nous avons un intérêt commun ! Allons-y ensemble !
Encore un effort, encore un « coup de collier » !

La victoire est au bout du chemin !

« Le mot résister doit toujours se conjuguer au présent » Lucie AUBRAC

Pour être plus fort, vous aussi, adhérez à la CGT !

Contrairement à ce que souhaite le Gouvernement, nous ne tournerons pas la page !

Nous la déchirerons !

Ce 28 mars participe déjà à l’écriture d’un pan de notre histoire sociale !

TOUS EN GRÈVE !

Le Gouvernement veut passer à autre chose. Il annonce déjà de nouvelles réformes impopulaires, fait le voeu de renouer le dialogue avec les syndicats, mais considère que le dossier retraites est clos !

Ce n’est pas le cas ! Il ordonne aux forces de l’ordre, appelées autrefois les « gardiens de la paix », d’imposer sa réforme par une escalade de la violence à l’encontre de celles et ceux qui luttent.

Ça ne marchera pas !

Nous voulons continuer à parler des retraites, de l’injustice de cette réforme, de son caractère anti-démocratique, des autres solutions de financement, de nos revendications sur les 60 ans et les départs anticipés à 55 ou 50 ans pour les professions spécifiques ou les métiers pénibles.

Nous voulons continuer à parler des régimes spéciaux. Nous voulons continuer à dénoncer les inégalités femmes-hommes qui vont être accrues avec cette réforme alors que les corriger permettrait de faire rentrer 5 milliards d’euros de cotisations sociales.

Nous voulons continuer à parler des jeunes et de leurs conditions d’entrée dans le monde du travail. Nous voulons continuer à parler du chômage des plus de 60 ans qui est désormais moins bien protégé puisque, depuis février, la réforme du chômage est appliquée et que la durée d’assurance qui était de 36 mois est passée à 27.

Nous voulons le retrait de cette réforme, puis des négociations sur les retraites, et dans chacune de nos entreprises nous exigeons des hausses de salaire, des créations d’emplois, qui améliorent nos vies et financent les régimes sociaux !

Si nous maintenons la pression, ce Gouvernement n’aura plus d’autre choix que de reculer !

Les actions de blocage sur l’ensemble du territoire et les grèves se démultiplient à nouveau en ce début de semaine. Ainsi, ce sont les entrepôts Amazon qui sont bloqués dans l’Est, ce sont les entreprises privées de ramassage des ordures qui se mettent en grève à Paris, c’est la poursuite du blocage des ports et des raffineries et la pénurie dans les stations-service qui s’élargit, ce sont nos collègues de l’Énergie qui poursuivent la grève et la reprise en main de la production, c’est l’intersyndicale culture qui a bloqué le Louvre ce lundi etc.

Les cheminots ne sont pas en reste. Comme d’autres salariés, lucides et déterminés, certains organisent la grève et adaptent leurs modalités d’action dans le cadre du processus reconductible entamé le 7 mars dernier.

C’est la démonstration qu’ils ne lâcheront rien !

Déjà, cette journée du 28 mars s’annonce d’un haut niveau dans la branche ferroviaire, à l’image de ce que nous connaissons depuis le 19 janvier.

• En responsabilité et dans l’unité, les fédérations cheminotes représentatives nationalement appellent à « ne pas passer à autre chose ».
• L’intersyndicale interprofessionnelle, qui se réunira ce 28 mars au soir, continue de revendiquer le retrait de la réforme.

Tout est donc réuni pour monter en pression et aller chercher la victoire !

Ce Gouvernement ne sortira plus du bourbier qu’il a lui-même généré. Nous irons au bout !

Dans cette lutte inédite, certes exténuante et difficile mais tellement belle, la Fédération CGT des Cheminots exprime sa fierté vis-à-vis de ses militantes et militants de proximité qui oeuvrent chaque jour à animer la grève !

La Fédération CGT des Cheminots salue également la force, l’esprit de responsabilité et la détermination dont font preuve les cheminots dans la lutte, aux côtés des autres branches professionnelles.

Ce 28 mars s’annonce déjà comme une nouvelle réussite !

CONSTRUISONS ENSEMBLE LA SUITE DE L’AVENTURE !

« …il faut l’union et l’action du peuple travailleur, de tout ce peuple qui est attaché à la démocratie et à la sauvegarde des libertés acquises et au progrès social… »
Pierre SEMARD – 25e congrès de la CGT – NANTES – nov. 1938

Pour être plus fort, vous aussi, adhérez à la CGT !

Notre mobilisation ne faiblit pas, les actions locales organisées tous les jours, week-ends compris, cumulées aux rendez-vous interprofessionnels, en attestent.

Notre conflit est ancré, structuré et soutenu majoritairement par la population.

La brutalité idéologique du Gouvernement, traduite au Parlement et dans les rues, doit être sanctionnée.

Pour le président de la République et son Gouvernement, ce printemps ressemble à un automne !

Pour nous, ça va !

On maintient le cap de la contestation et on tape fort le 28 mars !

Le président pense trouver son salut dans l’exercice de la violence à l’encontre de celles et ceux qui résistent.

Ses « unités spéciales », incarnées par la Brav-M que l’on pourrait renommer la « Brav-HAINE », font le sale boulot puisque interpellations arbitraires, blessures graves et propos inacceptables se multiplient ces derniers jours notamment à l’encontre de militants syndicaux au rang desquels celles et ceux de la CGT. Par ailleurs, un militant cheminot de la fédération SUD-Rail a été mutilé lors de la dernière manifestation parisienne.

La Fédération CGT des Cheminots apporte tout son soutien à ce collègue, à son entourage familial et syndical et n’acceptera jamais que des travailleurs soient victimes de violence parce qu’ils revendiquent le progrès social ! La famille cheminote doit serrer les rangs et montrer sa détermination !

DOIT-ON ENCORE RÉPÉTER QUE NOUS NE CÉDERONS PAS FACE AUX INTIMIDATIONS ?!

L’interview du président de la République résume parfaitement l’état d’esprit du Gouvernement : menteur, arrogant, autoritaire… Le président Macron a malheureusement raté l’occasion de sortir de cette crise sociale. Il n’avait qu’à dire qu’il ne promulguait pas cette loi et tout serait aujourd’hui terminé.

Non, il a préféré enfoncer le clou et déclencher la révolte sociale, avec des manifestations record le 23 mars… Non, nous ne lâcherons pas, le recul de l’âge de départ, on n’en veut pas !

Des mobilisations et des manifestations record !

Après avoir réuni plus de 3 millions de manifestant·e·s dans la rue le 7 mars et malgré l’adoption de la loi par le recours au 49-3, la contestation populaire ne faiblit pas, bien au contraire.

Partout sur le territoire, la riposte s’organise. Blocages, actions syndicales, manifestations quotidiennes démontrent la volonté de tous les travailleur·euse·s d’obtenir le retrait de cette réforme injuste et antisociale. Avec encore plus de 3 millions de manifestant·e·s dans la rue le 23 mars, le ton est donné. Malgré le discours du président Macron qui veut entériner cet insupportable passage en force et enchainer sur d’autres sujets, l’opposition est massive et démontre le refus de passer à autre chose. L’intersyndicale reste unie pour demander le retrait de ce texte !

Des cheminot·e·s qui ne lâchent rien !

Malgré un contexte inflationniste et de pouvoir d’achat en berne, les cheminot·e·s restent mobilisé·e·s depuis le 7 mars. Face à ce gouvernement qui préfère créer l’embrasement dans le pays plutôt que d’écouter les citoyens, nous ne relâchons pas la pression, nous pouvons gagner le retrait du texte !

Au statut, contractuel ou d’une EF privée, les cheminot·e·s sont conscient·e·s qu’une défaite sur ce texte constituerait un recul historique pour le droit des travailleur·euse·s. En conscience, nos fédérations refusent d’accepter ce coup de force et de passer à autre chose.

À l’issue de ce conflit, la direction SNCF devra se rendre à l’évidence qu’aujourd’hui, face aux difficultés de production et à l’inflation qui continue d’augmenter, elle doit prendre en compte ce dont ont besoin les cheminot·e·s, c’est-à-dire d’emplois et d’augmentations de salaire comme les fédérations l’ont signifié à travers un courrier unitaire resté sans réponse à ce jour !

En totale responsabilité et conscientes de la mobilisation massive interprofessionnelle qui a l’appui de l’opinion publique, les fédérations cheminotes CGT, UNSA-Ferroviaire, SUD-Rail et CFDT appellent tous les cheminots du GPU à maintenir la pression par la grève, à se joindre aux actions interprofessionnelles organisées dans les territoires et à se mettre massivement en grève le 28 mars pour rejoindre les manifestations organisées partout par l’intersyndicale.

La mobilisation des cheminots a contraint la direction de Fret à appliquer les mesures réglementaires, accordant ainsi les positions Hors Compte supplémentaires.

La direction de Fret SNCF a tenté de rogner sur des centaines de positions de rémunération.

UNE POLITIQUE D’ENTREPRISE À L’EMPORTE-PIÈCE

Dans sa course aux gains de productivité, la direction de Fret développe une politique extrêmement coûteuse et inefficace.

Par exemple, l’outil ORP ne fonctionne toujours pas depuis 2020, une gestion catastrophique pour un coût qui avoisine les 50 millions d’euros aujourd’hui.

Un exemple de gabegie financière parmi tant d’autres que la direction tente de faire payer aux cheminots sur leur déroulement de carrière.

DES POSITIONS DE RÉMUNERATION À LA TRAPPE

À la suite des départs de centaines de cheminots de Fret SNCF, la direction n’a pas réalisé les réattributions de PR lors de l’exercice de notations 2022-2023, conformément aux dispositions statutaires.

Alors que les cheminots du Fret subissent les réorganisations incessantes, la direction refuse également de garantir les déroulements de carrière conformément aux dispositions réglementaires.

Plusieurs centaines de positions de rémunération étaient donc menacées.

LES CHEMINOTS ONT FAIT BOUGER LES LIGNES

La mobilisation des cheminots, à l’appel unitaire des fédérations CGT, SUD-Rail, UNSA et CFDT, a fini par tordre la position de la direction

Lors de la réunion du 22 mars qui fait suite à la demande d’audience des fédérations, la direction cède :

• Sur la réattribution avec effets rétroactifs des PR redistribuées à la suite des départs de cheminots en 2022 ;
• Sur l’application de garanties de déroulement de carrière avec PLUS DE 150 PR supplémentaires réparties et attribuées aux conducteurs et aux cheminots sédentaires.

UNIS ET DÉTERMINÉS ON GAGNE !