Une majorité de CREQ ne se retrouvent plus dans leur métier tel qu’il est organisé aujourd’hui par la direction.
Le métier de CREQ, de par sa formation initiale telle que dispensée aujourd’hui, ne répond plus au besoin de la capacité opérationnelle en Maintenance comme en Travaux.
La désorganisation amorcée par les réformes successives a créé des "tubes étanches" entre les différents services, engendrant des tâches supplémentaires responsables de l’augmentation des risques psychosociaux.
Pour la Fédération CGT des cheminots, il convient de faire monter en compétence ce métier, comme la direction l’avait permis à certains de ces agents pour évoluer dans leur mission à la fois en vitesse et en masse tractée.
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Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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Le déploiement à marche forcée des outils numériques (Orion, Oscar, Progrès, Score, ORP, Hastus) et les réorganisations successives des bureaux de commande ou autres centres opérationnels ont sérieusement dégradé le métier et les conditions de travail des gestionnaires de moyens.
Leur quotidien est saturé de tâches "parasites" ; liées aux dysfonctionnements des outils, aux platesformes de commande de taxis "ubérisés", aux adaptations permanentes des journées en opérationnel, aux formations de cheminots en reclassement ou en contrat précaire et plus encore à l’utilisation d’une multitude d’outils de communication numérique comme Avaya, Teams, SMS, téléphone,e-mail, etc.
La désorganisation amorcée par les réformes successives a créé des "tubes étanches" entre les différents services, engendrant des tâches supplémentaires responsables de l’augmentation des risques psychosociaux.
Les spécialisations par produit, voire par ligne, se conjuguent avec une polyvalence imposée de plus en plus débridée : commande d’ADC, de cheminots sédentaires et/ou d’ASCT, tenue d’astreinte,réglementations différentes, etc.
Dans le même temps, les parcours professionnels et les possibilités de déroulement de carrière se réduisent, et la perte de sens du travail gagne du terrain.
Pour la CGT, il devient urgent de reprendre la main et d’exiger la reconnaissance du métier de gestionnaire de moyens.
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➔ Poursuivre la lutte contre la privatisation de la SNCF et contre la concurrence dans le système ferroviaire pour la réunification des chemins de fer publics dans une seule entreprise : la SNCF ; ➔ Gagner des droits de haut niveau pour tous les cheminots de la branche ferroviaire, l’amélioration des conditions de travail, la sauvegarde des métiers, l’arrêt de la polyvalence et de la sous-traitance ; ➔ Des augmentations générales des salaires et des primes de travail ; ➔ Une protection sociale de haut niveau, solidaire et intergénérationnelle pour tous les cheminots ; ➔ La réouverture du régime spécial et son extension à tous les cheminots de la branche ferroviaire ; ➔ Combattre la fiscalisation et la dématérialisation des facilités de circulation pour les actifs, les retraités, les ayants-droit ; ➔ Sauvegarder et développer le fret SNCF et s’opposer à la création d’un GIE Optim’services ; ➔ Construire une riposte globale tous services pour stopper le démantèlement de la SNCF et l’abaissement des droits des cheminots.
… La riposte globale !
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Après 7 années de gel des salaires, les Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) de 2021 viennent de se tenir. La Direction a en réalité soumis à signature des mesures unilatérales, comme par exemple la prime COVID et aucune mesure salariale pour 2021.
Les cheminots des Fonctions Transverses sont sans cesse présentés comme un coût qu’il faut réduire par des restructurations incessantes. Au contraire, ils sont un maillon essentiel à la production ferroviaire.
Pour la CGT, ce sont par des augmentations générales des salaires et par la reconnaissance des qualifications que la direction doit répondre.
Notre prime de travail, partie intégrante de notre salaire, doit prendre en compte les évolutions et exigences de nos métiers. Les qualifications et la technicité doivent être reconnues !
Services Médico-Sociaux, fonction RH, administratifs, gestion-finances, Immobilier, Environnement du Travail, nous sommes tous légitimes à exiger de véritables mesures salariales.
Avec la CGT, je signe et je réclame :
Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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Après 7 années de gel des salaires, les Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) de 2021 viennent de se tenir. La Direction a en réalité soumis à signature des mesures unilatérales, comme par exemple la prime COVID et aucune mesure salariale pour 2021.
Alors que les cheminots de la Surveillance Générale sont en première ligne pour contribuer à maintenir le service public ferroviaire depuis le début de la crise pandémique, la Direction ne répond que par des primes non pérennes et aléatoires selon les territoires.
Pour la CGT, ce sont par des augmentations générales des salaires et par la reconnaissance des qualifications que la direction doit répondre.
Notre prime de travail, partie intégrante de notre salaire, doit prendre en compte les évolutions et exigences de notre métier. Les qualifications et responsabilités liées notamment au port d’armes doivent être reconnues !
Avec la CGT, je signe et je réclame :
Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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Ensemble, exigeons de réelles avancées sur l’emploi, la ré-internalisation des charges de travail, l’amélioration des conditions de travail, ainsi que l’augmentation de la prime de travail.
Le domaine Matériel subit de trop nombreuses réorganisations mettant à mal les métiers et en évidence un manque croissant de cheminots et de formations. Ces déficits de personnel impactent la qualité de la production et provoquent des pertes de savoirs et de savoir-faire, allant jusqu’à créer du mal-être au travail poussant des cheminots à quitter l’entreprise. S’ajoute à cela une 8ème année de gel des salaires, si l’on s’en tient aux dernières négociations annuelles à la SNCF !
Avec la CGT, je signe et je réclame :
• Pour la rémunération :
➔
l’augmentation de 200 € de la prime de travail Matériel par une mesure spécifique, pérenne et sans contrepartie pour combler les pertes subies depuis 2011 et la reconnaissance de la technicité des métiers du Matériel pour tous les cheminots contractuels et statutaires.
• Pour l’emploi :
➔
l’embauche de 1042 cheminots au minimum pour combler les emplois perdus dans les Technicentres depuis janvier 2020 ;
➔
l’embauche des 652 intérimaires des UO et chantiers Matériel recensés au 22 novembre 2021 ;
➔
la ré-internalisation de toutes les charges de travail.
• Pour la formation :
➔
Garantir un haut niveau de formation continue sur le plan technique et aux nouveaux outils numériques.
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Les cheminot·e·s de l’Exploitation concourent à la réponse aux besoins de transport ferroviaire de qualité, en reliant le rail et la roue. De leur côté, les directions continuent leur casse de l’emploi en structurant les services par activité et en effaçant les contours métiers. Depuis de nombreuses années, nous subissons les coups d’une direction sacrifiant nos emplois, nos conditions de vie et de travail et nos rémunérations.
Sur l’emploi, il convient d’utiliser les évolutions technologiques pour améliorer les conditions d’exercice des métiers et qu’elles cessent d’être le prétexte à des suppressions de postes. Les multiples usages de la digitalisation ne doivent pas servir à soumettre les cheminot·e·s à la connexion permanente et sans contrôle.
Sur les salaires, il convient de revenir à des augmentations générales des salaires, pour faire face à la perte de pouvoir d’achat liée en partie à l’inflation. Les directions doivent cesser de mettre en place des primes qui ne visent qu’à individualiser les salaires des cheminots.
Avec la CGT, je signe et je réclame :
Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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EN LA SIGNANT, VOUS CERTIFIEZ ÊTRE CHEMINOT-E, ACTIF-VE OU RETRAITÉ-E.
Ensemble, exigeons de réelles avancées sur l’emploi, la ré-internalisation de charge de travail, la sécurité des personnels et des circulations et l’augmentation de la prime de travail.
Les métiers de l’Equipement subissent de trop nombreuses réorganisations, des surcharges de
travail, un manque abyssal et croissant de personnel.
Ce manque de personnel impacte la sécurité,
la qualité de la production et crée un mal-être au travail poussant un nombre considérable de
cheminots à quitter l’entreprise. S’ajoute à cela le gel des salaires depuis plus de 7 ans chez les
cheminots !
Avec la CGT, je signe et je revendique :
➔ Sur la rémunération :
▪ Une augmentation de la prime de travail pour la reconnaissance de la technicité des métiers ;
▪ Une augmentation équivalente sur la rémunération des cheminots contractuels ;
➔ L’embauche de 4 430 cheminots à l’Equipement et la ré-internalisation de la charge de travail pour la maintenance et les travaux ;
➔ Un haut niveau de sécurité pour les personnels et les circulations avec des formations professionnelles initiales et continues en proximité.
Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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Depuis de nombreuses années, la rémunération de l’ensemble des cheminots est gelée. À cela s’ajoute la stagnation ou la baisse de leur prime de travail liée aux fluctuations de la charge de travail.
La prime de travail des ASCT mais aussi des RET et des RCT est le fruit d’une longue lutte impulsée par la Fédération CGT des Cheminots et mise en oeuvre grâce au rapport de forces des ASCT.
La détermination et les différentes actions à l’initiative de la CGT ont permis d’imposer à la direction sa mise en oeuvre qui visait la reconnaissance des missions des agents par la création d’un code revalorisé.
Avec la CGT, je signe et je revendique :
▪ Une revalorisation de la prime de travail pour les personnels de la filière trains ;
▪ Une fusion de la prime Activité Commerciale Renforcée S1 et S2 revalorisée ;
▪ La création d’une prime de travail journalière activité et reconnaissance aux métiers trains (ARMT) de 15 euros avec une base forfaitaire de 10 jours quelle que soit l’utilisation (SU, AT, maladie ...).
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Depuis de nombreuses années, la rémunération des conducteurs (CRML, CRTT, CRL), comme celle de l’ensemble des cheminots, est gelée. A cela s’ajoute la stagnation ou la baisse de leur prime de travail liée aux fluctuations de la charge de travail.
Le système de calcul est très opaque et permet à la direction de s’en servir comme outil managérial pour favoriser ou pénaliser nos roulements.
Ce système étant à l’agonie malgré les artifices que veut mettre en place la direction, la Fédération CGT des cheminots revendique la mise en place d’un nouveau mode de calcul.
Avec la CGT, je signe et je réclame :
▪ Une revalorisation de la prime de traction pour l’ensemble des conducteurs ;
▪ Une simplification du système permettant à chaque ADC de contrôler sa prime ;
▪ L’instauration d’une prime de base garantie versée pour chaque journée ;
▪ La prise en compte de la durée des amplitudes, du temps en tête des trains et du travail de nuit pour le calcul de la prime ;
▪ Réduire les écarts entre la plus basse et la plus haute prime de traction ;
▪ Une meilleure rémunération en cas de maladie ou descente de machine.
Cheminotes, cheminots, signez et faites signer la pétition !
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